Nous partons du postulat que votre monture EQ2 ressemble à celle-ci et que vous possédez un appareil photo numérique, reflex ou bridge de préférence, même un appareil entrée de gamme (dès l’instant qu’il possède la pose longue ou de quelques secondes) fera l’affaire.
L’idéal bien sûr serait de posséder un intervallomètre mais si vous n’en possédez pas comme moi, un logiciel fabricant pourra très bien convenir.
Pour les possesseurs de Canon, vous pouvez utiliser la version demo totalement fonctionnelle du logiciel « Astro Photography Tool » disponible ici. Ce logiciel prend également en charge un grand nombre de caméras astro…
A défaut on utilise la commande retardateur de l’APN pour éviter de flouter à chaque appuis sur le déclencheur. A ce stade, appareil photo sur la monture, on comprend vite l’intérêt du viseur polaire maison .
On effectue une mise en station, on démarre le moteur de suivi, on cherche l’objet à photographier (Un pointeur laser en parallèle de l’APN est un plus incontestable), on règle la pose de 2, 3 secondes pour les objets brillants à 20, 30 secondes pour les plus diffus, on lance une série d’images, une vingtaine pour commencer et se faire la main. Pas de dark, d’offset ou de flat à ce niveau de la compétition, on débute je vous rappelle! Il ne reste plus qu’à traiter les images obtenues en croisant les doigts pour avoir un résultat. Le traitement s’effectuera avec le logiciel gratuit DeepSkyStacker disponible ici.
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